La thèse de l’auteur concerne le moi, elle énonce à la fois que le moi est composé, et qu’il est soumis à des forces.
Dans une première partie l’auteur
présente le moi comme soumis à trois instances, le surmoi, le monde et le ça, dont les exigences sont contradictoires. Le résultat de cette structure est l’échec fréquent du moi. Dans une
troisième partie l’auteur montre le tiraillement du moi entre la représentation de la réalité et le ça, et la prédominance du ça dans ce conflit.
Dans une quatrième partie qui commence à « d’autre part » l’auteur montre que l’intervention du surmoi complique la tâche du moi : Freud décrit cette instance comme une autorité
sévère et inflexible.
Dans une seconde partie, à partir de « quand on observe » l’auteur justifie la personnification du moi par la difficulté de sa tache, et la réaction commune à chaque échec possible : la production d’angoisse.
Dans une conclusion, à partir de « le moi », l’auteur décrit le moi comme soumis à des forces, et luttant pour établir un équilibre entre elles.